Un enfant sur trente ne serait pas celui du père déclaré
ADN - C'est la statistique dévoilée par une revue scientifique... La statistique qui fâche. Un enfant sur trente ne serait pas celui du conjoint déclaré. C’est la revue scientifique «The Lancet» qui lâche cet obus après que des chercheurs qui étudiaient des maladies génétiques ont dû écarter 10% des échantillons en raison «de discordances de filiation».
Je pense que les parents doivent toujours assumer et dire la vérité aux enfants sur leur racine car leur mentir est une solution à court terme qui offre une bulle de bien être sur le moment jusqu'à ce que la bulle éclate. En effet, les non-dits souvent engendrés par ces situations sont comme des boulets et ont des répercutions terrible sur l’identité de l'enfant qui a subit le mensonge. Tous ces enfants auxquels il manque un des parents auront plus de mal à se construire. Ils seront toujours à la recherche consciente ou inconsciente de leurs racines. Il est primordial pour un enfant de connaître l'histoire de ce père biologique. Une fois que la vérité a éclaté, l'enfant devenu adulte peut faire une travail sur lui même seul ou avec un coach, comprendre les motivations des parents qui sont souvent celles de le protéger, même si le résultat n'est pas celui escompté. Il pourra se reconstruire bien sûr si tout devient limpide pour lui, qu'il pardonne et qu'il ne se complait pas dans le rôle de la victime. Qu'en pensez vous ?